- EAN13
- 9782021406924
- ISBN
- 978-2-02-140692-4
- Éditeur
- Seuil
- Date de publication
- 18/04/2019
- Collection
- FICTION ET CIE
- Nombre de pages
- 192
- Dimensions
- 21 x 16,7 x 1,8 cm
- Poids
- 536 g
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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East Village Blues
Prix Vaudeville 2019
De Chantal Thomas
Photographies de Allen S. Weiss
Seuil
Fiction Et Cie
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Un récit simple, fluide, où l’on respira un air de profonde liberté dans le New York des années 1970.
Au milieu des années 1970, alors qu’elle vient de soutenir sa thèse sur Sade avec Roland Barthes, Chantal Thomas décide de partir. Loin. Elle s’installe à New York. Chez une amie d’amie. Le désir circule, les fêtes s’enchaînent, chez les uns, chez les autres, inconnus parfois. Un puissant souffle de liberté anime la ville. Quarante ans plus tard, amenée à séjourner dans l’East Village, elle retrouve les lieux de son premier séjour, dans un quartier qui a toutefois totalement changé ou presque. Seules quelques traces demeurent de la marginalité d’autrefois, des graffitis sur les quelques immeubles qui n’ont pas encore été restaurés et dont Allen Weiss, partenaire de ce livre, va extraire des images photographiques qui rappellent un temps révolu. Car l’East Village était le lieu d’immigration et de bohème pauvre, inventive, où tout le monde se rêvait poète, où circulaient encore Allen Ginsberg, William Burroughs, Herbert Huncke, les « beats », et les fantômes bien vivants d’Andy Warhol, de Lou Reed et du Velvet Underground.
Au fil des pages, Chantal Thomas se souvient des lieux (St-Mark’s church, le Chelsea Hotel, les bars, les appartements), elle évoque les fêtes, les dragues, les aventures, dans un flottement des genres qu’elle restitue à merveille, comme portée par la grâce d’une mémoire à même de revivre et faire revivre l’intensité d’une époque ouverte à tout.
Par les temps qui courent, ce livre est une merveilleuse évasion, et le rappel d’une chose : la liberté est possible, elle est même un excellent principe de vie…
Au milieu des années 1970, alors qu’elle vient de soutenir sa thèse sur Sade avec Roland Barthes, Chantal Thomas décide de partir. Loin. Elle s’installe à New York. Chez une amie d’amie. Le désir circule, les fêtes s’enchaînent, chez les uns, chez les autres, inconnus parfois. Un puissant souffle de liberté anime la ville. Quarante ans plus tard, amenée à séjourner dans l’East Village, elle retrouve les lieux de son premier séjour, dans un quartier qui a toutefois totalement changé ou presque. Seules quelques traces demeurent de la marginalité d’autrefois, des graffitis sur les quelques immeubles qui n’ont pas encore été restaurés et dont Allen Weiss, partenaire de ce livre, va extraire des images photographiques qui rappellent un temps révolu. Car l’East Village était le lieu d’immigration et de bohème pauvre, inventive, où tout le monde se rêvait poète, où circulaient encore Allen Ginsberg, William Burroughs, Herbert Huncke, les « beats », et les fantômes bien vivants d’Andy Warhol, de Lou Reed et du Velvet Underground.
Au fil des pages, Chantal Thomas se souvient des lieux (St-Mark’s church, le Chelsea Hotel, les bars, les appartements), elle évoque les fêtes, les dragues, les aventures, dans un flottement des genres qu’elle restitue à merveille, comme portée par la grâce d’une mémoire à même de revivre et faire revivre l’intensité d’une époque ouverte à tout.
Par les temps qui courent, ce livre est une merveilleuse évasion, et le rappel d’une chose : la liberté est possible, elle est même un excellent principe de vie…
Commentaires des lecteurs
A la recherche du Village perdu
L’auteure des « Adieux à la reine » poursuit avec ce récit la veine autobiographique présente dans « Souvenirs de la marée basse ». La petite fille d’Arcachon est devenue l’étudiante amoureuse de New York, plus particulièrement de l’East Village, ...
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